mercredi 20 décembre 2017

Le rêve de Pascale Locquin

Il y avait longtemps qu'elle n'avait pas sorti d'album. Entre temps, elle avait crée une petite surprise en proposant un recueil de ses textes. Alors ce nouvel album de Pascale Locquin, intitulé 'Rêver encore', autant dire que c'est une autre surprise, et une belle. 14 chansons, bénéficiant d'arrangements sublimes (jeu de guitare de Nelson Ferreira, l'accordéon de Didier Lamothe). Et la voix de la chanteuse, aisément identifiable entre mille. L'artiste est fidèle à son écriture/jeux de mots : 'Chagrain d'folie', 'N'Hosto ou tard'. Des pépites linguistiques dont on dit que seule la langue française est capable. Bref, cet album en rose et noir, rêvant de lendemains meilleurs, de fraternités, de gens moins seuls, est un démenti cinglant à ceux et celles qui s'enferment dans une vision décliniste de la chanson à texte. A savourer sans modération !




lundi 27 novembre 2017

Bref entretien avec le chanteur guitariste béninois SERGE ANANOU (à l'approche du spectacle CLAIR DE LUNE)




Bonjour Serge Ananou, vous participez au spectacle CLAIR DE LUNE aux côtés de Tita Nzebi et Alphonse Tiérou le 3 février prochain au Café de la Danse, à Paris, comment vous sentez-vous à l'approche de cette date ?

Bonjour, 
Je me sens bien et je suis  très impatient d'être sur la scène du café de la danse.  Ça va être une très belle soirée !

Quel a été le déclic qui vous a donné envie de vous lancer dans la musique ? 

J'ai grandi dans un environnement où la musique était présente partout.  Entre les cérémonies  Vaudou et les fêtes ( mariage,  naissance,  enterrement,  dote etc...),  je n'ai pas échappé à l'envie d'en faire.  
J'ai  été  musicien à  l'église,  au collège, au lycée puis ensuite dans les bars et clubs de Cotonou  . J'ai vraiment eu le déclic quand j'ai abandonné mes études de comptabilité et gestion pour suivre un groupe  equato-guinéen installé au Bénin.  Je me suis dis ça y est,  c'est ce que je veux vraiment faire.

Si vous ne deviez n'emmener qu'une chanson de votre répertoire sur une île déserte, laquelle vous choisiriez ?

Je choisirai mon titre "Clandestin" si je n'ai qu'un morceau à  emmener sur une île déserte, histoire de savourer cette LIBERTÉ. Pour dire que nous sommes tous  clandestins ou prisonniers dans un système.  Que ceux qui fuient la pauvreté, les guerres ou autres formes de persécution,  ne sont pas si différents de nous.  Je profiterai de mon île déserte pour dire: "Bonheur et Liberté pour  tous".


mercredi 8 novembre 2017

Jearian Ondo en première partie de Gasandji le 10 novembre, Pan Piper

Partout où il chante, sa voix marque les gens et son style musical quasi-mystique aussi...le gabonais Jearian Ondo assure la première partie de Gasandji le 10 novembre au Pan Piper, Paris, 20h.



lundi 2 octobre 2017

Entretien avec la chanteuse Tita Nzebi : la scène, la musique, l'Afrique...

Le 3 février 2018, la talentueuse chanteuse Tita Nzebi, originaire du Gabon, retrouve la scène du Café de la Danse, partageant la scène avec Alphonse Tiérou et Serge Ananou. Nous ne saurions cacher notre impatience ! La chanteuse a accepté de répondre à nos questions et c'est avec joie que nous nous en faisons ici l'écho. 




Tita Nzebi, vous allez retrouver la scène du Café de la Danse, dans quel état d’esprit êtes-vous ? 

Je suis dans même état d’esprit que pour tous mes autres concerts. Un mélange de peur et d’impatience. La peur de rater la préparation de cette scène, de mal la faire et impatience parce que c’est toujours un plaisir et un honneur d’échanger avec le public à ces occasions-là. 


Vous êtes très attachée à la mise en valeur de votre héritage culturel, que signifie pour vous en 2017 la musique gabonaise et plus largement la musique africaine ? 

Je ne me suis jamais posée la question de savoir ce que signifie la musique gabonaise ou africaine pour moi. Pourrait-on d’ailleurs donner une définition à une musique quelle qu’elle soit ? Personnellement je l’ignore. En revanche, je me pose parfois la question de la perception que nous avons tous de la musique gabonaise et africaine. 
Pour les peuples colonisés que nous avons été, que nous sommes peut-être toujours, il y a eu, il y a peut-être encore, une sorte de complexe quant aux musiques de chez nous. Quant à ce que nous sommes même. Par conséquent, faire le type de musique que je fais n’a pas été une décision facile à prendre car cela voulait dire oser se présenter aux autres, dans mon pays ou ailleurs avec un héritage culturel à priori sans importance et sans valeur.
De bonne foi, des compatriotes m’ont conseillée de ne pas m’engager dans cette voie parce qu’elle leur paraissait sans issue. D’abord parce que je chante dans une langue que peu de gens comprennent sur des rythmes pas toujours évidents pour tout le monde puis, commercialement on ne peut pas dire que ce soit le genre de musique que les gens achètent le plus. 
En outre, il y a encore des gens qui se représentent l’Afrique comme un lieu où tout le monde se ressemble, où tout le monde a la même culture. D’ailleurs sans aucune méchanceté ou mépris, des gens affirment que je chante en africain or cette langue, au même titre que l’européen, l’asiatique, l’océanien, n’existe nulle part. On ne fera jamais remarquer à un Polonais qu’il s’exprime en européen mais dans le cas de l’Afrique ce genre de remarques sont encore courantes et banales. Dans le même ordre d’idée il y a des gens qui écoutent les musiques africaines les plus populaires ou celles qu’elles connaissent. Lorsqu’elles rencontrent un artiste africain qui fait une musique qu’elles ne connaissent pas vous disent très clairement que vous ne faites pas de la musique africaine car pour elles cette musique se limite à celle qu’elles connaissent. J’ai été confrontée à ce problème deux fois. 
Pour toutes ces raisons, je pense qu’il y a encore un travail à faire pour faire évoluer les idées que beaucoup ont de l’Afrique et la valeur de ses cultures. Et ce, en Afrique ou ailleurs. 

                                                                                            Tita Nzebi par Pierre Orcel, 21/01/2017, Café de la Danse, Paris


Vous allez proposer un spectacle complet notamment avec la présence du chorégraphe ivoirien Alphonse Tiérou. Peut-on dire de vous que vous êtes une bête de scène ? 

Il y a tellement d’artistes qui, par leur expérience, leur talent et les moyens mis à leur disposition font des choses époustouflantes sur scène que ça serait prétentieux et malhonnête de ma part d’affirmer être une bête de scène. J’ai encore un long chemin à parcours avant d’en devenir une pas sûre que j’y arrive d’ailleurs. 
Mais que l’on soit une bête de scène ou pas, le live est le moyen pour toute sorte d’artistes de faire découvrir leur travail au public. Pour ma part c’est un le moyen que je préfère. 


La présence d’Alphonse Tiérou sur cette affiche n’est pas due à une volonté de ma part de me présenter comme une bête de scène. C’est un Monsieur pour lequel j’ai beaucoup de respect. Ses travaux de recherches sur la danse africaine sont connus dans certains milieu universitaire et par une certaine presse. Il a conçu un alphabet de la danse africaine et une méthode d’apprentissage de la danse africaine. Le 3 février j’aurai donc l’honneur de partager une scène avec une pointure. 
Sur cette affiche vous avez aussi Serge Ananou, un chanteur guitariste originaire du Bénin. Il a sorti son premier album il n’y a pas si longtemps. Pour l’avoir vu sur scène plusieurs fois je ne peux que conseiller à vos lecteurs de venir le découvrir le 3 février 2018. 
Le Café de la danse est une belle scène sur laquelle vous pourrez découvrir de beaux artistes le 3 février 2018 et cette affirmation n’est ni prétentieuse ni malhonnête. 
Nous vous espérons donc nombreux. 


vendredi 14 juillet 2017

Les envolées solaires de la chanteuse Sultana [Interview]



Bonjour Sultana, le grand public vous retrouve avec votre second album Sol'Air, est-ce pour fêter l'été ?

Bonjour, c'est effectivement une invitation au voyage ! Sol'air est sorti le 10 Mars 2017, donc juste avant le printemps pour annoncer les beaux jours !  C'est un disque lumineux rempli d’énergie positive et ouvert sur le monde grâce à un mélange d'influences, de cultures, aux couleurs de notre société actuelle, métissées tout comme moi !  Même si c'est un album qu'on peut classer dans le registre "chanson", je voulais faire de cet opus un espace de liberté à travers le mélange des influences jazz ou arabo-andalouses et celles des terres insulaires comme le Cap vert, la Réunion....un disque sans frontières où les langues s’entremêlent également pour faire de Sol'Air un périple cosmopolite !

Dans cet album, il est question de la quête des racines, c'est quelque chose de vital pour vous ?

C'est devenu vital il y a plus de 10 ans quand j'ai voulu renouer avec mes origines. Mes racines marocaines me manquaient terriblement et j'avais besoin de rentrer dans un processus d’identification, d'appartenance et surtout de reconnaissance... Mais au delà d'une envie personnelle, je pense que la quête identitaire fait partie du chemin de chacun d'entre nous, quelle que soit notre histoire ou notre enfance. Avec les années, on se rend compte qu'il est important de savoir d'où l'on vient, qui on est pour savoir où aller et mener sa vie avec sérénité et conscience.  Effectivement le morceau "Pas à Pas" écrit par Jann Halexander évoque le thème de la transmission avec brio.  C'est une chanson qui me touche véritablement et que j'ai adoré co-composer avec Jann.

Le 23 mars dernier vous faisiez salle comble aux Trois Baudets, où peut-on espérer vous revoir sur scène ?

Oui on a fêté la sortie de Sol'Air le 23 Mars aux Trois Baudets avec une salle pleine et bienveillante !  Puis j'ai enchainé plusieurs dates dans des salles comme le Carroussel de Paris, le Pavé d'Orsay et le festival Musiques en Terrasse à Paris. Je serai de nouveau sur les scènes nationales à partir de la rentrée sur Paris principalement (toutes les infos sont mises à jour sur mon site https://www.sultana.fr )

Merci !


Album Sol'Air disponible en fnac et sur les plates-formes de téléchargements légales.





mardi 27 juin 2017

Entretien avec Urbain Rinaldo sur son concert le 7 juillet au Gouvernail, Paris



Bonjour Urbain Rinaldo, merci d'accepter ce court entretien. Comment vous sentez-vous à l'approche du 7 juillet pour votre concert dans ce beau théâtre qu'est le Gouvernail ? Qu'avez-vous à dire aux gens pour leur donner envie de venir à votre spectacle ? 

Merci de me permettre de parler de ce spectacle que j'aime tant. Un ami, (Christian Paccoud pour ne pas le citer), avait écrit après mon concert que c'était je cite "Ce pourrait être le blues des Antilles quand les touristes sont partis.
C'est un peu cela mise à part la musique qui est très entraînante!  Même si les mots sont parfois  tristes, la musique  elle, reste est joyeuse. C'est à la deuxième écoute que l'on se rend compte de la gravité des chansons. Les gens sortent heureux. C'est le but !





C'est la mode des auteurs-compositeurs-interprètes, vous avez choisi dans votre spectacle d'interpréter des poèmes, pourquoi cette démarche singulière ?

 J'aime qu'un spectacle ne soit pas monochrome. Mettre en musique des poèmes, les transformer en chanson me permet d'avoir un répertoire plus large.  Mais je fais cela surtout pour faire connaître une poésie méconnue parfois des Antillais eux mêmes. Je reviens de La Guadeloupe invité par le festival "Première rencontre autour du piano" et beaucoup de spectateurs sont venus me voir après le concert pour me remercier de leur avoir fait découvrir cette littérature. Lire de la poésie demande un certain effort. Écouter une chanson, c'est plus simple. Je permets donc à certaines personnes d'entendre de la poésie plus facilement. 

Ce spectacle tourne depuis un certain temps, est-il toujours le même ou vous nous promettez des surprises? 
Mes concerts sont toujours différents les uns des autres,  c'est un spectacle en perpétuelle renouvellent en fonction des nouveaux musiciens et surtout en fonction des nouveaux poèmes.  Je travaille actuellement sur Aimé Césaire et je suis  très heureux du résultat. Vous voulez en savoir plus ? Rendez vous le 7 Juillet au Théatre du Gouvernail ! 
On vous attend !


jeudi 22 juin 2017

Le cabaret LE MAGIQUE ferme ses portes

Le Magique, institution de la chanson française ferme ses portes le 24 juin. Ce lieu dirigé par le talentueux chanteur Marc Havet et célèbre jusqu'en Nouvelle-Zélande a vu passer depuis 1981 toute une foule d'artistes, chanteurs, poètes, écrivains, peintres. Ci-dessous, un dessin signé Anne-Cécile Makosso-Akendengué pour souligner l'importance de ce lieu dans la culture.



dimanche 4 juin 2017

Urbain Rinaldo fait danser la poésie, de Guy Tirolien à Max Rippon 7 Juillet, Paris


A MOI LA NUIT POEME ERNEST PEPIN MUSIQUE URBAIN RINALDO

Si la nuit, Ernest Pépin Musique Urbain Rinaldo

EVENEMENT 8 JUILLET : SOIREE 'ZE PLACE TO BI' - PARIS




EVENEMENT 8 JUILLET : SOIREE 'ZE PLACE TO BI' - PARIS !


A l'occasion de ses 20 ans, l'association Bi'Cause organise :

Ze Place to Bi,
le 1er Salon français des bisexualités

L'événement se déroule en 3 temps :

- de 18h à 20h : des animations, informations et sensations sur les bisexualités, pansexualités et non-binarités.

- de 20h30 à 23h30 : un concert Show BI'zz poly-talents avec des artistes bI'enveillants envers notre cause. (Allyson GLADO, Augustin HABRAN, Betty SEYMOUR, Christophe MADROLLE, Jann HALEXANDER, Justin GB, Mr YEYE, Thomas POLLY et le Grand Magicien RATCEKOU)

- de 23h30 à 6h : Bi'Cause ze Nignt, soutenue par JC des Bilove
rythmée par DJ Mambaa, Justin GB et Serigne DIAGNE.

Une love-room sera disponible pour celles et ceux qui voudraient mettre en pratique la Liberté d'aimer, avec les messages de prévention associés.

Et parce qu'un diamant s'offre toujours dans une belle boîte, nous avons choisi "Ze Place" qui plaira à toutes et tous :
La Galerie des tribus contemporaines !
14 rue Gaston de Cavaillet,
75015 PARIS
Il y a même une piscine !
http://www.capricegroupe.com/galerie-des-tribus-contemporaines.html

Les pré-ventes sont ouvertes à 15€, tarif avantageux pour accéder à l'ensemble de la soirée.
https://www.helloasso.com/associations/bicause/evenements/ze-place-to-bi

Cet événement est destiné aux bisexuel-les, pansexuel-le-s, hétéro-sensibles et homo-flexibles, et à leurs ami-e-s. 😉

Tous les déguisements et travestissements sont bi'envenus.

Egalement bi'envenues toutes les aides financières à Bi'Cause pour l'organisation et la réalisation de nos autres objectifs :https://www.helloasso.com/associations/bicause/collectes/bi-cause-quand-on-aime-on-a-toujours-20-ans
66% de la somme versée sera déductible des impôts !



Jann Halexander en concert 'A vous dirais-je' au Gouvernail 3 et 4 novembre – Paris

"On ne construit pas une oeuvre avec des bons sentiments" disait le chanteur Jann Halexander à un journaliste il y a quelques années.


S'il fut souvent comparé à Jean Guidoni ou encore Jacques Brel à ses débuts en 2003, Jann Halexander s'est forgé un style unique, inclassable, mélange de variété et de cabaret avec des titres emblématiques tels que "Papa, Mum", "A Table", "Aucune Importance", à travers de nombreux concerts donnés en France et à l'étranger, du Sentier des Halles au Café de la Danse, en passant par le Magique ou encore le Coupé Theater de Berlin. 
L'artiste multiformes revient avec un nouveau spectacle : "A Vous Dirais-Je ?". Il est question d'amour éternel, de vie de famille, d'illusions perdues et autres périples inoubliables, parfois sans retour. Ce spectacle se veut une invitation au voyage où l'artiste nous (en)chante entre humour et tendresse, entre amour et déraison.

Guitare : Barbara Felettig
Saxophone : Laurence Gastine
Mise en scène : Jann Halexander, Monique Hottier
Décors : Anne-Cécile Makosso-Akendengué

JANN HALEXANDER

A VOUS DIRAIS-JE

3 & 4 NOVEMBRE 2017

21H00

Théâtre du Gouvernail
5 Passage de Thionville, 75019 Paris
01 48 03 49 92

Tarif :
20 euros - Tarif plein
16 euros - Tarif réduit (billetreduc http://www.billetreduc.com/188236/evt.htm , par téléphone 01.48.03.49.92/ 06.16.13.98.32 ou ama2_ama9@hotmail.com]

12 euros - RSA, Demandeurs d'emploi, adhérents Tranches de Scène
http://labeltrilogiehalexander.blogspot.fr 

Jann Halexander - Lost in Fort de France

Claudio Zaretti Toi qui écoutes (Clip Officiel)

vendredi 19 mai 2017

A la découverte des dessins d'Anne-Cécile Makosso-Akendengué

Suite au succès remporté par ses dessins sur facebook, l'artiste Anne-Cécile Makosso-Akendengué propose ses dessins originaux à la vente. Rendez-vous sur https://www.artmajeur.com/fr/member/anne-cecile-makosso-akendengue ou contacter directement ama2_ama9@hotmail.com (Agent CDM)



 Née Frébeau le 14 novembre 1958 à Longué-Jumelles dans le Maine-et-Loire, Anne-Cécile Makosso-Akendengué passionnée de musique (piano) a publié plusieurs romans (Mathilde et son pianiste, Ceci n'est pas l'Afrique). Elle est la mère du chanteur Jann Halexander. Le dessin et la peinture ont toujours pris de la place dans la vie. Ancienne enseignante de philosophie au Gabon où elle vécut vingts ans, elle aime les couleurs vives et les fantaisies décalées. Ses peintres préférés sont Matisse et Chagall.



vendredi 5 mai 2017

TITA NZEBI EN CONCERT A VICHY 5 MAI ET NANTES 6 MAI

L'aventure musicale, l'éveil des sens et des consciences avec la chanteuse gabonaise Tita Nzebi continue, pour le plus grand plaisir du public, ne la ratez pas quand elle passe par chez vous !



19H - Musée des Arts d’Afrique et d’Asie – 16 ave. Thermale – 03200 Vichy – 04 70 97 76 40 

20h30 - TNT Théâtre - 11 Allée de la Maison Rouge 44 000 Nantes 




Spectacle Jann Halexander - A VOUS DIRAIS-JE ? 12/13 mai la Rousselle - Bordeaux [Chanson] - entrée libre

CONCERT
A VOUS DIRAIS-JE ? 
[CHANSON]
20h30

(Seul en scène - à partir de 12 ans)
Avec : Jann Halexander
Mise en scène : Monique Hottier, Jann Halexander
"On ne construit pas une œuvre avec des bons sentiments" disait le chanteur Jann Halexander à un journaliste il y a quelques années.

S'il fut souvent comparé à Jean Guidoni ou encore Jacques Brel à ses débuts en 2003, Jann Halexander s'est forgé un style unique, inclassable, mélange de variété et de cabaret avec des titres emblématiques tels que 'Papa, Mum', 'A Table', 'Aucune Importance', à travers de nombreux concerts donnés en France et à l'étranger, du Sentier des Halles au Café de la Danse, en passant par le Magique ou encore le Coupé Theater de Berlin.

L'artiste multiforme revient avec un nouveau spectacle : "A Vous Dirais-Je ?".
Ce spectacle se veut une invitation au voyage où l'artiste nous (en)chante entre humour et tendresse, entre amour et déraison.

Entrée libre – dans la limite des places disponibles
Réservations : 06 16 13 98 32 - ama2_ama9@hotmail.com
Théâtre la Rousselle 
77 rue de la Rousselle
33 000 Bordeaux

vendredi 17 mars 2017

BEN NODJI EN CONCERT AU GOUVERNAIL...des Comores à l'Europe, de l'Europe aux Comores...







Ben Nodji en concert au Théâtre du Gouvernail,
8 avril, 21h
5 Passage de Thionville
75019 Paris
Métro : Laumière / Ourcq / Crimée
Bus : Ligne 60 Laumière
Réservations :
Tarif plein 12 euros
Tarif réduit (billetreduc, par téléphone, sms au 06.16.13.98.32 ) : 10 euros
Tarif chômeurs, RSA : 8 euros

https://www.youtube.com/watch?v=_l6BBDTuhnc  Rien n'est écrit d'avance

Ils en parlent :






jeudi 9 mars 2017

Sultana en concert aux Baudets 23 mars + nouvel album 'Sol'Air'

La chanteuse Sultana revient avec son deuxième album 'Sol'Air' ce 10 mars. Un voyage musical, éclectique assurément. Rendez-vous le 23 mars dans la belle salle des Trous Baudets où la chanteuse déploiera l'étendue de son talent.



mercredi 8 mars 2017

3 questions à Ben Nodji à l'approche de son concert 'Chanter c'est Aimer', 8 avril prochain, Paris, Théâtre du Gouvernail

A l'approche de son tour de chant 'Chanter c'est Aimer', Ben Nodji a accepté de répondre à notre courte interview.

Bonjour Ben Nodji, cela fait longtemps qu'on ne vous a pas vu sur une vraie scène de théâtre, cela vous manquait ?
Oui, cela me manquait énormément. Une vraie scène de théâtre!! Je commençais à me demander s'il faut que je retourne au CARPE DIEM à Marseille pour connaître à nouveau les sensations d'une vraie scène de théâtre.

Que pouvez-vous dire aux indécis qui hésitent encore à venir à votre concert du 8 avril ? 
Ah bon? Il y a encore des indécis? Bon, je leur dirai que je fais des chansons d'un autre genre qu'on n'a pas l'habitude d'entendre. Je leur demande de faire preuve de curiosité, tout simplement, surtout s'ils sont des vrais amoureux de la chanson.


 Vous dîtes que Chantez c'est Aimer, pourquoi chantez-vous ? Par amour des gens, l'amour de transmettre des émotions ? 
Oui, chanter c'est aimer. Dans mon esprit, on va se mettre nu devant tout le monde sur une scène, (il ne s'agit pas de se dévêtir) parce qu'au fond, on a un besoin d'amour, probablement pour palier un manque d'enfance ou calmer une plaie d'enfance. En même temps, on ne peut pas partir à l'assaut de l'amour d'autrui si on n'aime pas les gens. Et j'aime vraiment les gens. Peut-être même plus que le ciel avec tout ce que le ciel représente... C'est dire combien j'aime les gens.

Ben Nodji en concert au Théâtre du Gouvernail, 8 avril, 21h

5 Passage de Thionville
75019 Paris
Réservations :
Tarif plein 12 euros
Tarif réduit (billetreduc, par téléphone, sms au 06.16.13.98.32 ) : 10 euros
Tarif chômeurs, RSA : 8 euros





Michael Bond in french s'il vous plaît. Just french.

  Reconnaissons une qualité à Florian Philippot (au moins une) : c'est d'avoir permis au chanteur Michael Bond de monter sur la scè...